Je suis kinésithérapeute depuis douze ans.
Rapidement au cours de mes premières années d'exercice, il m'est arrivé de ressentir une frustration dans les cas où les traitements purement physiques ne montraient pas de résultats satisfaisants chez mes patients.
L'impact de la dimension émotionnelle, du discours tenu par les personnes que je suivais sur leur pathologie, me semblait évident. Durant les séances, les patients se confiaient à moi, mais je n'avais pas les outils pour aller plus loin. En séparant le corporel de l'émotionnel et du cognitif, J'avais l'impression de n'explorer qu'une partie du problème, de faire mon travail à moitié.
Il y a six ans, j'ai découvert l'hypnose d'abord en tant que patiente. J'ai trouvé cet outil très puissant. Enfin une thérapie qui m'aidait à me bouger et à changer ma perception des choses au lieu de me laisser tourner en rond sur mes problèmes. J'ai aussi aimé le côté très corporel, sensoriel de l'hypnose, qui permet d'apprendre à s'ancrer, à "se sentir". On n'est pas que dans sa tête, on vit le changement, on le ressent.
Voici l'extrait d'une interview de François Roustang, philosophe et hypnothérapeute qui résume bien selon moi l'approche globale du patient en hypnothérapie :
"Pour moi, le psychisme n’existe pas. La psyché, entité autonome séparée du corps, est une pure invention. Le psychisme, c’est du corps ! Et le corps est esprit ! Les maladies dites " psychiques " sont en réalité celles d’un corps endormi, passif, qui se renie comme corps humain. La guérison de ce dernier ne passera pas par l’analyse de quelques " conflits psychiques ", ce qui l’assoupirait encore davantage, mais par la parole, le geste, bref, le contact avec un autre corps humain – celui du thérapeute – qui le réveillera. Il s’agit de rendre au corps sa dimension sensorielle, son langage."
J'ai donc commencé à me former pour devenir hypnothérapeute.
Aujourd'hui, après divers cursus de formation dans ce domaine, je fais de mon mieux pour accompagner mes patients vers leur guérison en prenant en compte toute leur complexité d'être humain, dans sa dimension corporelle, émotionnelle et cognitive.
Parfois des techniques simples fonctionnent et les résultats sont rapides.
Parfois il y a des choses à travailler en amont. Le symptôme qui semblait être le problème, est en fait la solution inconsciente apportée par notre esprit à un trouble plus profond. Le travail sera alors de prendre conscience de ce qui bloque (peurs, angoisses, évènements passés, traumatismes, deuils...) et de s'en libérer.
J'accompagne essentiellement les patients ayant des problématiques en lien avec mon métier de kinésithérapeute spécialisé en rééducation périnéale : douleurs chroniques, douleurs périnéales et troubles sexuels.
J'accompagne également les femmes qui désirent utiliser l'hypnose pour se préparer à la naissance de leur enfant, mais également pour les problématiques d'infertilité et de d'angoisses ou dépression en post-partum.
Rapidement au cours de mes premières années d'exercice, il m'est arrivé de ressentir une frustration dans les cas où les traitements purement physiques ne montraient pas de résultats satisfaisants chez mes patients.
L'impact de la dimension émotionnelle, du discours tenu par les personnes que je suivais sur leur pathologie, me semblait évident. Durant les séances, les patients se confiaient à moi, mais je n'avais pas les outils pour aller plus loin. En séparant le corporel de l'émotionnel et du cognitif, J'avais l'impression de n'explorer qu'une partie du problème, de faire mon travail à moitié.
Il y a six ans, j'ai découvert l'hypnose d'abord en tant que patiente. J'ai trouvé cet outil très puissant. Enfin une thérapie qui m'aidait à me bouger et à changer ma perception des choses au lieu de me laisser tourner en rond sur mes problèmes. J'ai aussi aimé le côté très corporel, sensoriel de l'hypnose, qui permet d'apprendre à s'ancrer, à "se sentir". On n'est pas que dans sa tête, on vit le changement, on le ressent.
Voici l'extrait d'une interview de François Roustang, philosophe et hypnothérapeute qui résume bien selon moi l'approche globale du patient en hypnothérapie :
"Pour moi, le psychisme n’existe pas. La psyché, entité autonome séparée du corps, est une pure invention. Le psychisme, c’est du corps ! Et le corps est esprit ! Les maladies dites " psychiques " sont en réalité celles d’un corps endormi, passif, qui se renie comme corps humain. La guérison de ce dernier ne passera pas par l’analyse de quelques " conflits psychiques ", ce qui l’assoupirait encore davantage, mais par la parole, le geste, bref, le contact avec un autre corps humain – celui du thérapeute – qui le réveillera. Il s’agit de rendre au corps sa dimension sensorielle, son langage."
J'ai donc commencé à me former pour devenir hypnothérapeute.
Aujourd'hui, après divers cursus de formation dans ce domaine, je fais de mon mieux pour accompagner mes patients vers leur guérison en prenant en compte toute leur complexité d'être humain, dans sa dimension corporelle, émotionnelle et cognitive.
Parfois des techniques simples fonctionnent et les résultats sont rapides.
Parfois il y a des choses à travailler en amont. Le symptôme qui semblait être le problème, est en fait la solution inconsciente apportée par notre esprit à un trouble plus profond. Le travail sera alors de prendre conscience de ce qui bloque (peurs, angoisses, évènements passés, traumatismes, deuils...) et de s'en libérer.
J'accompagne essentiellement les patients ayant des problématiques en lien avec mon métier de kinésithérapeute spécialisé en rééducation périnéale : douleurs chroniques, douleurs périnéales et troubles sexuels.
J'accompagne également les femmes qui désirent utiliser l'hypnose pour se préparer à la naissance de leur enfant, mais également pour les problématiques d'infertilité et de d'angoisses ou dépression en post-partum.
Vanessa EVESQUE hypnose à Montpellier Doctolib.fr
Hypnothérapeute Kinésithérapeute Tél : 06-27-76-78-96
49 rue de Messine 34000 Montpellier Mail : vanessa.evesque@gmail.com